2008年8月18日 星期一

Le plaisir de lire

Le plaisir de lire

On a l'impression que le plaisir de lire est multiple.

Mais contrairement à celle-ci, chez moi, face à un tel sujet, je ne sais presque pas quoi dire. C'est parce que j'ai mis vraiment assez peu de temps à lire, à lire sans but, si je puis dire.

D'après mon impression, la lecture pour moi, elle semble s'accompagner toujours avec des études, comme pour des examens à passer, des rapports à rendre, ou bien des recherches à faire...etc. C'est-à-dire, dans la plupart de cas, je ne lis jamais pour rien. C'est vraiment quelque chose de triste.

Alors, je pense, tout d'abord, à mon avis, que la lecture devrait être une chose bien à l'aise. On ne lit pas pour l'école, ni pour les examens. A dire encore plus exactement, on ne lit pour aucun but.

On ne lit que pour le plaisir, que pour s'amuser.

C'est donc le premier plaisir de lire pour le plaisir, ce qui est le plus important selon moi. En citant le cas littéraire, comme par exemple, si l'on lisait Guy de Maupassant en feuillettant ses oeuvres sans qu'il ne faille faire d'analyse de textes, ça devrait donner une grande joie par la voie de lecture, car on ne fait pas grand chose pour elle. On la considère tout simplement comme une sorte de loisirs d'esprit.

En plus de ce dernier, bien sûr, on arrive aussi à acquérir des connaissances et des savoir-faire par la lecture. Mais à la recherche du plaisir de lire, par rapport aux connaissances obtenues, une autre plus grande joie qu'on peut trouver, c'est celle de penser.

A travers les textes des auteurs, on essaie de comprendre ce qu'ils veulent dire. C'est une façon de s'approcher des auteurs.

En lisant, des dialogues se font tout de suite construire entre l'auteur et le lecteur petit à petit. Et après des interactions d'esprit, le lectuer se pose des questions, et trouve leurs réponses à la fois. Lui, il pourrait finalement s'inspirer des nouvelles idées ou d'un aspect original en ce qui concerne le sujet. Par exemple, quand on lit "L'étranger" d'Albert Camus, on connaît les points de vue de l'auteur sur l'existentialisme. Et pour le lecteur, il pourrait certainement avoir ses propres idées sur le même sujet, que ce soit positif ou négatif.

Enfin, j'aimerais bien dire que je lis donc je pense et je pense donc je suis. En pensant au proverbe le plus connu du Descartes, on trouvera le vrai plaisir de lire.

PS: pour l'instant, j'ai trouvé une autre façon de dire "exister" .....

Je Mange donc Je Suis.....

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